12 novembre 2024
LA RÉCONCILIATION EN ACTION : CENOVUS CONSTRUIT DE NOUVELLES MAISONS ET DE NOUVELLES POSSIBILITÉS
Cenovus travaille en étroite collaboration avec les communautés autochtones vivant à proximité de ses activités afin de s’assurer qu’elles bénéficient des retombées de l’exploitation des ressources. Nous croyons que la réconciliation avec les Autochtones passe par des mesures concrètes. Pour Cenovus, cela comprend la consultation, l’établissement de la confiance et la création d’une valeur économique et sociale à long terme en appuyant les entreprises autochtones et en aidant à faire en sorte que les communautés tirent profit de notre voisinage. Notre politique sur les relations avec les Autochtones, dictée par le conseil d’administration, confirme notre responsabilité et fournit des orientations sur la façon de respecter les principes des droits des Autochtones, de la consultation, des occasions économiques et de la prospérité communautaire. Ces principes sont suivis par des indicateurs clés sur l’emploi, les investissements commerciaux et les investissements communautaires.
Lorsque Grace Richards a emménagé dans une maison mobile à Conklin, en Alberta, elle pensait que ce logement serait temporaire.
C’était il y a huit ans, huit ans sans électricité, sans eau courante et sans plomberie intérieure. « La vie était très dure, dit-elle. Surtout pendant les mois d’hiver. »
Mais en octobre dernier, Mme Richards a emménagé dans une maison toute neuve : deux chambres à coucher, un salon, une salle de bain et des appareils électroménagers neufs.
Elle ne s’approvisionnera plus en eau dans une citerne pluviale, ne dépendra plus d’une bouteille de propane pour cuisiner et n’utilisera plus de toilette sèche. Elle avait hâte d’emménager depuis des mois.
« Pouvoir appuyer sur un interrupteur de lampe, prendre une douche tous les jours, avoir un réfrigérateur et une cuisinière... des choses que je tenais pour acquises », dit-elle.
Sa nouvelle maison, située dans la communauté métisse de Conklin, est l’une des 200 maisons construites dans le cadre de l’initiative de logement autochtone de Cenovus, un projet de 50 millions de dollars de la société énergétique de Calgary qui vise à améliorer les conditions de logement dans six communautés autochtones situées à proximité des sites d’exploitation des sables bitumineux. Cette initiative est l’un des moyens utilisés par la société pour œuvrer à la réconciliation avec les peuples autochtones.
« Nous voulons entretenir d’excellentes relations avec les communautés près desquelles nous travaillons, explique Dustin Meek, directeur du développement des entreprises autochtones chez Cenovus. Nous avons entendu haut et fort que le logement fait face à une crise et qu’un bon voisinage consiste à écouter et à agir. »
Cenovus travaille en étroite collaboration avec les communautés autochtones vivant à proximité de ses sites d’exploitation afin de s’assurer qu’elles bénéficient des retombées de l’exploitation des ressources. Faire progresser la réconciliation avec les Autochtones signifie prendre des mesures concrètes, et la réconciliation économique avec les peuples autochtones est un élément essentiel de la gouvernance de la durabilité de Cenovus, qui est appuyée par le conseil d’administration et le comité de gouvernance du conseil et qui vise également à promouvoir la sécurité, l’inclusion et la diversité.
Fournir des logements aux communautés autochtones est un élément important des engagements plus larges de la société en matière de durabilité, et c’est une initiative dont Cenovus est particulièrement fière. En outre, Cenovus s’est engagée à dépenser 1,2 milliard de dollars avec des entreprises autochtones entre 2019 et 2025. La société a atteint cet objectif deux ans plus tôt et a déjà dépensé plus de 1,7 milliard de dollars à l’aube de 2024.
En outre, Cenovus a conclu plus d’une douzaine d’ententes sur les avantages avec des communautés autochtones et cherche à obtenir l’accréditation de partenariat en relations autochtone au niveau or du Conseil canadien pour les entreprises autochtones d’ici à la fin de 2025.
Cenovus a également mis en place un programme de stages sur le terrain pour les Autochtones, qui donne aux Autochtones de la région qui entrent sur le marché du travail l’occasion d’acquérir une expérience pratique sur les lieux de travail. Les participants au programme bénéficient d’un mentorat, d’un soutien scolaire et d’une formation en cours d’emploi.
En outre, Cenovus collabore avec l’organisme de bienfaisance Indspire pour financer 25 bourses d’études pour les apprenants autochtones, d’une valeur de 5 000 $ chacune, dont les montants seront égalés par le gouvernement fédéral.
Il s’agit d’un investissement dans l’avenir du secteur de l’énergie et des communautés se trouvent à proximité des exploitations pétrolières et gazières.
Selon la Commission de vérité et réconciliation (la « CVR »), plus de 50 000 entreprises appartenant à des Autochtones opèrent au Canada et contribuent à l’économie à hauteur de 30 milliards de dollars par an. Cenovus fait appel à nombre d’entre elles pour la restauration des camps de travail, l’entretien des sites de forage et la fourniture de services de gardiennage à plusieurs bureaux.
Les avantages de ces partenariats sont partagés par tous.
Une personne autochtone qui travaille dans le secteur du pétrole et du gaz gagne en moyenne 140 000 $ par an. C’est près de trois fois le salaire moyen des Autochtones occupant d’autres emplois. Les femmes autochtones qui travaillent dans le transport de pétrole brut par oléoduc gagnent en moyenne 151 000 $ par an. Le salaire annuel moyen d’une femme canadienne est de 54 000 $. Alors que les Autochtones représentent 4 % de la main-d’œuvre canadienne, ils occupent 7 % des emplois dans le secteur de l’énergie.
La CVR a demandé aux entreprises canadiennes de « veiller à ce que les peuples autochtones aient un accès équitable aux possibilités d’emploi, de formation et d’éducation [...] », et c’est le défi que doivent relever aujourd’hui les chefs d’entreprise canadiens.
La réconciliation doit être plus qu’une simple excuse. Elle doit créer des possibilités. Cela signifie fournir des emplois ou de la formation ou, dans certains cas, une maison avec de l’eau courante.
Grace Richards affirme que le fait d’avoir enfin une vraie maison l’aidera à se remettre sur pied et à renouer avec ses proches.
« J’ai hâte de faire un repas de Noël, dit-elle, auquel je convierai ma famille, mes amis et mon petit-fils. Cela fait dix ans que je n’ai pas préparé de repas de Noël. »